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Qui sommes-nous ? (suite ).

 

Enfin troisièmement ( voici le point de départ central de mon essai), l’Astronomologie , en tant que pierre angulaire de naissance épigénétique, établissant le lien entre l’Astronomie et le Biologique plus particulièrement au niveau humain ; s’appuyant par exemple sur les rapports entre les cycles lunaires et les marées , les règles menstruelles ou la pousse des cheveux, et aussi entre les éclipses et les tremblements de terre et autres tsunamis.

Antiquement, la médecine grecque ( Empédocle créant la théorie des 4 éléments, et Alcméon de Crotone enseignant que l'équilibre des éléments dans le corps est source d'une bonne santé ; et Hippocrate de Cos mis en application cette théorie ; puis le latin Galien postula que le corps présente 4 humeurs basiques composé de 4 substances : le sang, la pituite, la bile jaune et l'atrabile ; enfin l'arabe Avicenne : tenta de réconcilier les théories des 4 humeurs avec les 3 forces de vie d'Aristote : psychique, naturelle et humaine ) a fixé les quatre tempéraments : celui de feu ( bilieux), celui d’air ( sanguin), celui d’eau ( lymphatique), celui de terre ( nerveux) liés aux planètes correspondantes ; alors qu’en Inde on s’intéresse aux 7 chakras ou énergie planétaire, et en Chine au dualisme soli lunaire yang yin. Ensuite, d’autres apports astro-médicaux vinrent comme celle sur les 7 glandes endocrines, sur les cycles et positions dentaires, sur l’homéopathie ou encore sur les 12 sels minéraux.

Personnellement, je m’oriente plus vers ce que j'appelle : l'Astronomologie caractérielle, où le thème astral développe des prédispositions passives liées au surmoi et des prédispositions actives lié au ça. En fait même si il est prouvé qu'elle fonctionne biologiquement, elle n'a comme intérêt thérapeutique premier que l'ouverture sur une base de développement personnel.

Par contre, au croisement de l’infiniment grand et petit, et surtout clef de voûte spirituel : l’Astrologie devenu tropicaliste et symbolique au cour de son évolution, reste attaché principalement à l'astrologie juridique qu’est l’Astromancie prophétique et divinatoire ( pure croyance pour le moins du fait du principe d'indétermination quantique ). Et le zodiaque qui est une ouverture de 17 degrés sur les constellations, n'est qu'une toile de fond ésotérique.

Ainsi, en premier lieu : en tant qu'Astrologie scientifique et médicale : l’Astronomologie mène du biorythme à la maïeutique, permettant de mieux se connaître soi-même ainsi qu’autrui, afin d’appréhender ce qu’est un caractère s’appliquant dans des transferts aux autres thèmes astraux, nécessitant l’acceptation des différences de tempéraments, s’établissant dans un équilibre internisé et une harmonie externisé fonctions des aspects, des encadrements et autres conjonctions d’un thème astral.

En premier lieu, on peut parler d’Astronomologie psychologique s’appliquant à un espace vibratoire des planètes, en signes avec équation individuo-annuel, et en maisons où réside une logique collectivo-journalière.

Ce qui donne selon moi en astrologie classique des nuances analytique projective de naissance tel que ; Bélier : de la spontanéité à l’impulsivité, Taureau : du bon sens à l’entêtement, Gémeaux : de la sociabilité à la versatilité, Cancer : de la paisiblité à la rêverie, Lion : de la générosité à la fierté, Vierge : de la modération à l’inertie, Balance : de la diplomatie à l’indécision, Scorpion : de la perspicacité au fatalisme, Sagittaire : de la solidarité au conformisme, Capricorne : de l’abnégation au renfermement, Verseau : du positivisme à l’inconséquence, et Poisson : de l’aventure à la perplexité.

Par ailleurs pour les astromanciens, cela se projette de façon symbolique vers autrui, avec d’abord le ciel nocturne introverti : de la maison 1 ou ascendant, lié à la face sociale, à la maison 2 des biens, et à la maison 3 du relationnel ; puis le ciel occidental réflexif : de la maison 4 ou milieu du ciel, lié au foyer, à la maison 5 des sentiments, et à la maison 6 du travail et la santé ; puis ensuite le ciel diurne extraverti de la maison 7 ou descendant, lié à l’officialité, à la maison 8 des transformations, et à la maison 9 des aspirations ; et enfin le ciel oriental méditatif : de la maison 10 ou fond du ciel lié aux compétences, à la maison 11 des amitiés et des projets, et à la maison 12 des épreuves.

Mais selon moi, les maisons ( soit disant phase sociale ) n’existent que pour la mise en place de la mancie juridique dit "des charlatans", permettant tout de même une possibilité d’ouverture maïeutique et transférique comme tous les arts divinatoires occultes.

Donc concrètement, de la position 1 du comportement préalable à la position 12 du comportement en dernière instance ; le biorythme internisé des signes s’adapte à un biorythme externisé des maisons fonction d’autrui.

Ainsi, le regard est lié au solaire, le sourire est lié à la lune, et l’ascendant est l’adaptation transférique principale s’appliquant dans le premier contact avec autrui.

Par ailleurs, selon moi encore la maïeutique doit se développer selon le schéma psychologique septénaire Grammatical : du Je solaire, du Tu lunaire, du Il mercurien, du Elle vénusien, du Nous martien, du Vous jupitérien, et du Ils ou Elles saturnien. Et c’est seulement lorsque le tout est maîtrisé, qu’On gère sa pleine conscience d’homme libre : symboliquement et historiquement, apprenti uranien puis compagnon neptunien et enfin maître galactique.

 

Ensuite, le neuro-psychologique se développent par les phases transitiques ( principalement les phases terro-lunaire d’un et demi ) ; soit en fait des transformations épigénétiques maturationelles, se déroulant par les nœuds lunaires problématico-solutionelle Nord et Sud. On parle aussi métaphoriquement de tête et queue du dragon,  ou du treizième signe du serpent et du serpentaire enchevêtrée ( Ophiucus ), lié au mythe né au 2ème-3ème siècle : d'Hermès trismegiste ( le messager de paix des dieux : "entre deux, trois fois grand " ; dont l'instructeur était Poïmandrès : " le divin berger du convoi humain " ), et son disciple : le futur dieu médical : Esculape. Quant à la lune noire ou ombre de la lune, elle est liée à l’accomplissement du long terme, et la part de fortune : l’équation soli-lunaire, indique l’espace-temps de la résultante collective.

 

Abordons ainsi selon ma méthode, plus particulièrement l’analyse des transits lunaires à l’échelle d’une vie, développant non pas une mancie de la destinée, mais les âges des dominances planétaires.

D’abord, la vie intra-utérine dure ½ nœud lunaire ou transit. Puis, commence l’âge de Mercure du bébé ( 10% de neurones connectés ), où il faut 1 transit pour la marche, puis 2 pour avoir toutes ses connexions neurales et parler ( la neurogénèse faisant de la place, d'où "amnésie infantile " pour mise en place de la mémoire autobiographique ), et 3 pour les limites affectives et l'identification. Enfin 4 à 6 pour être un enfant qui se passe progressivement de ses objets de transition à l’âge de latence, qui peut écrire puis compter, et se projette dans le monde adulte.

Alors, la puberté se déroule entre 6 et 12 transits, donnant une notion de la chronobiologie d’autrui. L’adolescence ou âge de Vénus, transforme alors radicalement le corps, mais marque aussi une ouverture et une acceptation progressive des rôles sociaux, surtout après le 9ème transit. Puis après la fin de la mutation physique vers les 90 % de neurones synapsisés et de matière grise, surgissent les problématiques psychiques existentielles liées à l’adultescence des 12 à 18 transits : ou âge de Mars.

Quant à l’adultisation ou âge de Jupiter, il se développe dans « la traversée des astéroïdes de Ceres « entre 18 et 21 transits, et est lié à la mû psychique vers les idées personnelles, survenant après un cycle de transit complet : donc 18 ans après la puberté. Alors la mort du passionnel est le passage menant vers la maturité masculine ( soit deux cycles de transit : 36 ans, jusqu’à 42 ans ou 28 transits ).

Donc, 28 nœuds ou 42 ans est l’âge du début de la ménopause ou temps de Saturne de la maturité complète masculine et aussi de la crise dite de la quarantaine ; puis 36 nœuds ou 54 ans est l’âge moyen de l’andropause ou temps d’Uranus de la maturité complète féminine ; et enfin 48 nœuds soit 72 ans est l’age moyen d’espérance de vie moderne ou âge de Neptune, ou encore la durée d’un degré zodiacal de précession des équinoxes constellatoire. Après vient le temps des confins météoritiques et cométaires, liés aux problématiques définitives de passage à l’immortalité dans les galaxies-multivers ( pour les post-humains ).

 

Par ailleurs, le rythme linguo-simultané des hémisphères cérébraux féminin, contrairement au rythme logico-binaire masculin, fait qu’elles sont en moyenne en avance psychologiquement entre environ 0-35 ans ; puis reprennent le dessus médicalement après 45 ans environ. Cela semble être la cause physiologique de ce que l'on nomme par ailleurs : "le plafond de verre ".

35-45 ans est aussi la période, où se scinde définitivement les groupes masculins complémentaires de scientifiques et techniciens ( voile d'Isis ).

De plus, selon moi : les femmes à la vie moins chaotique : auraient en moyenne un thème astral de naissance plus harmonieux, et ainsi leurs rythmes circadiens plutôt légèrement inférieur à 24 heures, les faisant avoir une horloge biologique plus rapide : les rendraient plus apte à s'adapter aux situations, et leur feraient prendre moins de risques ( risques pouvant être sources d'innovations plutôt pour les hommes ; ayant eux un rythme plutôt légèrement supérieur à 24 heures ).

Dans une seconde approche médicale, je dirais que pour le mammifère : le stress majeur de la naissance, lié à l'automatisme respiratoire et à l'auto-oxygénation, donne sa propre cadence à l’horloge biologique du nouvel être. Là, le thème astral reflète une équation biorythmique du ciel de naissance dans le système solaire par le zodiaque tropical ; en tant que résultante complète de potentialités purement personnelles, programmé par l’ADN et devenant dès lors effectives.

Une maladie grave ne peut donc être inscrite dans le thème astral de naissance, car elle ne concerne pas les phénomènes récessifs, mutationelles ou dégénérescents du génome, mais s’applique à un biorythme caractériel du néo-cortex, relié aux méridiens « plus ou moins de surface » du système nerveux sensori-moteur. Par contre, au fil des transits, l’amplification des tendances peut développer des faiblesses aiguës épigénétiques.

Ainsi existent des axes médicaux : l’axe Bélier-Balance ( de la face au dos ) ; l’axe Taureau-Scorpion ( du coup aux organes sexuels ) ; l’axe Gémeaux-Sagittaire ( des bras aux hauts des jambes ) ; l’axe Cancer-Capricorne ( du buste aux genoux ) ; l’axe Lion-Verseau ( du plexus aux bas des jambes ) ; et l’axe Vierge-Poissons ( du ventre aux pieds ).

On doit alors comptabiliser l’équilibre des méridiens du corps, à partir de toutes les composantes du thème ( le soleil, la lune et l’ascendant ayant plus d’importance ).

Ainsi, les pulsions réflexives sont liées aux éléments astrologiques yang ( feu et plus encore air ) et aux signes cardinaux ( début de saison ) voire fixes ( milieu de saison ) ; et les fantasmes méditatifs sont liés aux éléments astrologiques yin ( terre et plus encore eau ) et aux signes mutables ( fin de saison ) voire fixes ( milieu de saison ) ; ceci étant adaptable aux signes et aux maisons, en tant qu’échange de force entre circuit fermé et ouvert.

 

Plus particulièrement, en ce qui concerne la conscience, elle se situe donc entre le langage et la logique, et serait donc dut à un niveau d’ondes faisant vibrer les cristaux de magnétite cérébraux.

Ainsi, en recoupant science et astrologie, cela donne la base d’Astro-neurologie suivante : .
Mercure est lié au système reptilien ou moteur océanique, Vénus au système limbique du sensori mamiféro-terrestre passif, et Mars au limbique du sensori mamiféro-terrestre actif ; le tout fonctionnant entre 4 et 8 hertz à chimie principalement basique. Puis le néo-cortex des espèces proto-cognitives puis surtout du fulgurant-spatial humain fonctionnent entre 8 et 30 hertz à chimie principalement acide, où Jupiter est lié au temporal des phonèmes, Saturne à l’occipital des graphèmes, et Uranus au pariétal des linguèmes entre perception et action du corps : les trois étant triés dans le gyrus angulaire, en sorte « multimédias », faisant en somme le lien selon moi, entre l'inconscient collectif et le subconscient.

Enfin, Neptune et poussière galactique sont liés au développement des zones frontales de l’homo sapiens, impliquant la logique abstraite divergente à droite et concrète convergente à gauche : de la culture métaphysique à la physique, et de l'alchimie à la chimie. Et de manière générale, l'hémisphère droit est plus passionnel et le gauche plus rationnel.

Donc, c’est dans les aller-retour du pariétal au frontal que naît la conscience dans l’échange langage-logique. C’est là dans le cortex moteur et le somato-sensoriel connecté au gyrus cingulaire, que la force electrospatial terro-solaire de la gravitation répulsive liée aux célérités-acides, et la force magnétotemporel terro-lunaire de la gravitation attractive liée aux masses-basiques ; commencent à se rejoindre pour faire naître la résultante de l’écho vibe-flux à l’échelle du microcosme humain, se projetant comme transfert d’autrui dans l’aire motrice supplémentaire ( lié à l’évolution des transits lunaire ) ; le tout mêlant les forces d’émission et de réception connexionniste. Mais surtout dans l'ensemble, il y a homéostasie culturelle : toutes les structures et tous les niveaux échangeant par plasticité cérébrale mais aussi flexibilité neuronale ( et ainsi les 25 ou 26 particules élémentaires seraient peut être bien la cause des 25 sonorités verbales et 26 lettres de l'alphabet ).

 

Enfin, sur le plan de l’histoire de l’Astrologie scientifique existe : les études statistiques du RAMS ( Recherche en Astrologie par des Méthodes Scientifiques ). Commencées en 1992 et stoppées en 2008-2013 , ses études reprennent celles commencées depuis le début du siècle, s’intégrant dans l’histoire trans-neptunienne.

Ainsi, selon eux pour résumé : plus le thème astral d’un individu donne le soleil et les planètes telluriques proches de la terre, plus se développe un type d’individu « basico-actif » ( type sportif ou militaires ), et inversement, plus le thème donne un soleil lointain et des planètes gazeuses proches, plus se développe un genre « acido-passif » ( type scientifique ou médecin ). Cette étude ne caractérisant selon moi qu’une tendance marginale de réussite singulière, ne devant pas refléter une logique d’ensemble, sous peine de tomber dans les mêmes travers que les socio-généticiens.

Par ailleurs quantitativement : les unions maritales de signes à signes identiques sont plus fréquentes dans toutes les combinaisons possibles. Quant au facteur qualitatif, il est selon mon expérience personnelle, fonction de la position du signe dans la saison ( pour moi : les femmes de signes cardinaux), voire de l’élément du signe ; ces relations étant décalées et donc illusoires et inefficaces dans les liens médiatiques ; et d'autre part, le signe de la mère d'un garçon : semblerait être facteur d'une amitié privilégiée avec un gay.

Enfin, deux amis de signes cardinaux ont développés ma recherche ; le premier ( Balance ) au collège : par ses critiques sur l'astrologie caractérielle avec l'effet dit Barnum ; et le second ( Cancer ) au travail, en me procurant les photos des étudiantes de psychologie : afin d'assouvir ma recherche naissante sur le coup de foudre astrologique.

Selon moi aussi ( au lycée en terminale ), vérifiant sur moi-même la logique séculaire des zones astro-médicale de surface corporelle ; cela a occasionné : des ligaments de l'épaule droite craquant facilement ( moitié des astres en Taureau : à commencer par le Soleil ) et l'autre moitié des astres en Scorpion : à commencer par la Lune ( torsion testiculaire droite engendrant une opération afin de relancer la circulation, cela du fait d'une puberté précoce à 9 ans 3/4 ; cela me rendant psychologiquement inconsciement plus passif dans l'approche sentimentale, et engendrant après la fin de la croissance : une névrose obsessionnelle entre 16 ans 1/2 et 18 ans avec de gros boutons sur le visage, du fait du souvenir d'un acte difficilement explicable à l'époque à un enfant, étant de plus droitier du haut du corps et gaucher du bas ( cela étant peut être aussi la cause d'une naissance avec le cordon ombilical noué autour du coup du fait d'un enroulement sur soi-même en 9 mois et 9 jours : finissant heureusement bien grâce à l'infirmière ). Finalement, tout cela me donna une philosophie déterministe par la révélation de l'aliénation humaine.  

J’ai de plus constaté que des composantes du thème astral se transmettent trans-générationnellement, comme une « loterie » chronobiologique épigénétique. Ainsi, ma cousine germaine paternelle ( née en 1987 ) a le même signe solaire ( Taureau ), le même ascendant ( Cancer ) et comme moi aussi : Mars en Gémeaux en maison 12.

Par ailleurs cognitivement, mon père lui aussi du même signe solaire que moi : a eu un problème de disfonctionement d'une oreille interne au même âge que moi ( 44 ans, même si lui plus aigu ), et auparavant lorsque j'ai eu l'âge qu'il avait quand il a participé à mon engendrement ( 23 ans ) ; j'ai eu inconsciemment moi aussi brusquement envie de fonder un foyer ( ce qui était du délire vu les évolutions culturelles ).

Enfin, selon le RAMS encore, on meurt en moyenne plus sensiblement proche du mois autour de sa date de naissance ( ce que j'ai vérifié avec mes grands parents paternels ). D'autres études poursuivant ses travaux montrent des corrélations entre le mois de naissance et la fertilité ou certaines pathologies.

 

Plus spécifiquement, c’est durant l’année 2000, que j’ai moi-même constaté puis adapté selon la tradition astro-classique : une grille de lecture de l’activité oculaire astro-électromagnétique ( fixé sur photo d’identité, quand l’individu ne transfère pas avec autrui ), et qui peut se définir comme :

en ce qui concerne la magnéto-pupille, elle va du moins au plus dilaté : des signes cardinaux ( début de saison ) aux signes mutables ( fin de saison ) en passant par l’état intermédiaire des signes fixes ( milieu de saison ) ; et en ce qui concerne l’électro-iris, il passe d’un éclat intérieur vers un éclat extérieur : des signes d’eau, aux signes de terre, de feu puis d’air.

Cette découverte personnelle et empirique a peut être trouvée une voie d’explication depuis, avec la mise en évidence de corrélation entre certaines structures de l’iris et notre personnalité, par l’intermédiaire également du rôle du gyrus cingulaire antérieur ( par Mats Larsson de l’université suédoise d’Örebro ). Ces recherches sont sûrement à mettre en rapport avec celles sur : les 12 types de cellules ganglionnaires de la rétine ( informant de la luminosité et produisant de la melanopsine ) envoyant 12 films au cerveau, et où certaines de ces cellules photosensibles sont reliées à la zone cérébrale contrôlant l’horloge biologique( le noyau suprachiasmatique ), ainsi qu’à la contraction de la pupille. Les protéines ( notamment les péroxirédoxines ) et les gènes de cette horloge sont apparus : on pense actuellement il y a 2,3 milliards d'années ( dans les océans du fait des cycles des marées ). A l'échelle moléculaire, une douzaine de gènes dit de l'horloge, régulent une période entre 22 et 28 heures chez l'humain. Le chef d'orchestre supra-chiasmatique renvoie aux cellules périphériques, informe la glande pinéale ( mélatonine ), qui renvoie à l'hypothalamus, l'hypophyse puis vers les sécrétions hormonales organiques : interagissant avec les autres rythmes biologiques.

Faire tourner l'horloge est une prouesse dont est capable la plus modeste cellule. Et la division cellulaire est rythmé par l'horloge biologique. Cette faculté tient aux origines de la vie dont elle assure la préservation et la multiplication ; tous les êtres vivants remontant à une cellule mère à laquelle les relient des chaînes ininterrompues de division. L'Anglo-américain Colin S. Pittendrigh ayant déjà souligné dès 1954 que le temps de division des cellules animales et végétales étaient curieusement proches de 24 heures ; puis les américains Ronald Konopka et Seymour Benzer trouvèrent le premier gène d'horloge en 1971.

Par ailleurs, les plantes possèdent un photorécepteur  également magnétorécepteur : le cryptochrome ( capturant la lumière ), devenu un élément régulateur de l’horloge biologique ; et qui dans le système nerveux humain se retrouve lié aux neurones de régulation circadienne des noyaux supraoptiques de l’hypothalamus. Ses molécules propulsant des paires d'électrons, dépendant de la direction du champ magnétique, puis influençant l'activité de la rétine, faisant de la vision : la porte d'entrée privilégiée de la conscience. La bioluminescence ( cycle veille/sommeil plus ou moins désynchronisé chez les déficients visuels mais qui pourrait se resynchroniser avec de la mélatonine ) fonctionne avec réaction d'oxydoréduction, enzyme luciférase agissant sur un substrat luciférine, avec présence de dioxygène ; donc émission de lumière froide : adénosine triphosphate et magnésium.

 Enfin, dans le système solaire, la course elliptique spatio-temporelle électromagnétique engendrerait donc : une astro-chronobiologie ou biorythme infra ondulatoire génétique, du fait notamment de la magnétite Fe3 04, mettant en mouvement la masse d’ADN, subissant des variations de plus ou moins 17% à la nouvelle et à la pleine lune. Ainsi, à la pleine lune, on constate une augmentation de 8% des prises alimentaires, une diminution de 20% de l'alcoolisme, ou encore une augmentation très nette des accouchements mais aussi des accidents de santé. En 2013, il a été confirmé que la durée de sommeil durant la pleine lune est inférieure de 20 minutes, dut à une baisse du taux de mélatonine et de l'activité cérébrale delta. De fait, l'ionisation est maximale après la nouvelle lune, agissant sur le système hormonale ( glandes surrénales, métabolisme, neurotransmetteurs ). Par ailleurs, les cristaux de magnétite orientent les animaux sur le champ magnétique terrestre, qui serait relié aux mouvements planétaires et au soleil selon certains.

Ainsi, le magnétisme, plus particulièrement dans l'arcade sourcilière, entrainerait l'ouverture ou la fermeture de l'hélice d'ADN, avec 90% d'introns non codants et 10% d'exons codant ( ce "sixième sens " issu de notre planète aimant, ouvrant et fermant des canaux dans la membrane des cellules, eux-mêmes envoyant des signaux chimiques ). Quant au cycle solaire, il serait lié à la position des planètes ; et les neutrinos traversent la terre de jour comme de nuit sans impact apparent.

Tout ceci pouvant déboucher sur la chronothérapie ( médicaments et nutritions ajustés en fonction du moment, et adaptation des heures de travail et d'étude ). Et psychothérapeutiquement, il s'agit selon moi de prendre conscience des échelles de l'espace-temps, et de tenter ainsi de maîtriser ses rythmes de vie. D'autre part, une lumière blanche enrichie de bleu peut synchroniser un rythme  biologique détraqué par l'absence de lumière solaire. C'est en somme comme une sorte de " thérapie quantique " mais validée : dit luminothérapie ou photothérapie, qui par une lumière de forte intensité sur une durée précise et un horaire particulier, remet à l'heure l'horloge biologique de manière prophylactique ( bon pour le moral ), par un réglage dans le bleue turquoise à affiner ( entre 445 et 500 nanomêtres : pas quantifié exactement pour l'instant ; le bleu violet entre 415 et 455 : à forte dose étant désormais avéré comme acroissant les risques de DMLA voire de cataracte ).

Enfin, comme il existe désormais des lunettes de protection de luminothérapie adaptées pour un trop long temps devant écrans, permettant de rejeter une forte proportion de lumière bleue, sans que les rythmes biologiques ne soient dérangés ; peut être selon moi, on pourrait créer des lunettes filtrantes ( les "Astro-Glas " ) en fonction pour le moins de son signe solaire et donc de son horloge biologique ( par ailleurs sans lien avec ma théorie, existe le projet de l'équipe écossaise de Mike Ludwig, envisageant avec un collyre à base d'un dosage de vasopressine et d'opsine : de régler l'horloge biologique sans perturber la perception visuelle : pour les travailleurs de nuits, ou dans le cadre de la dépression automnale, ou encore pour les passagers lointains ou fréquents en avion ).

 

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