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1:Astro*physico-chimique et biologique de la Gravitation, des Galaxias, des Gammas, et de Gaïa, puis état des mammifères du Gondwana.

 

D'où venons-nous?

 

Tout d'abord est donc le mystère de la Gravitation ou premier jour symbolique ( avec son vecteur supposé qu’est le graviton, qui fait s’attirer les particules massives ), ou force du néant physique, courbant l’espace-temps. Enfin, pour chaque particule correspond une antiparticule théorique ( sachant qu'ils existent 12 sortes de particules subatomiques et 12 de liaisons ). De plus, il existe deux sortes de trios de quarks : deux up et un down donnant un proton, deux down et un up donnant un neutron ; puis deux protons et deux neutrons donnant un noyau d'hélium ( près de 25 % des éléments, les près de 75 % d'hydrogène étant fait de protons ).

Ainsi, il semblerait que la gravitation serait attractive en décélération cosmique, ralentissant l’expansion dans les amas gazeux neutres recombinés, représentant 25 % de l’univers avec sa matière noire froide fait de « neutralinos « issu d’un déficit dans les radiations beta, et 0, 3 % avec la matière noire chaude faite de neutrinos ; ou bien alors répulsive dans les bulles vides de l’univers en accélération cosmique représentant les 70 % d’énergie sombre.

Et admettons, de fait que dans les " bing bangs " se créent alors l'émetteur dextrogyre ( type Vishnu ou Yang ).  

 

Philosophiquement, l’imagination d’un univers infinie et mortel ( temps linéaire) ou finie et éternel ( temps cyclique) est inconcevable l’un comme l’autre pour l’esprit humain. Pourtant, une genèse et une apocalypse existe aussi bien dans les théories religieuses que scientifiques ; comme si l’humanité était apparue pour trouver un remède à sa propre disparition puis à celle de l’ensemble de la création. De fait, l’univers n’a pas de créateur car il est engendré par lui-même : il est le princeps ou jour 0. Donc, en plus du présupposé ondes-corpuscules réglant le problème du tout ou rien ; on peut penser que les deux forces du cosmos ont toujours été l’espace et le temps, et qu’ils ont engendrés des Galaxies-multivers ou deuxième jour symbolique ( les trous noirs apparaitraient donc avant les galaxies : à partir de l'effondrement des brumes d'atomes d'hydrogène et d'hélium peuplant l'univers à l'origine ).

Ainsi, existe l’espace-temps de "l'univers dit visible" que l’humain a finit par mesurer  : soit 13,7 milliards d'années lumière de durée depuis le fonds cosmologique, et le cosmos dodécaédrique de 92 milliards d'années lumière de diamètre.

Du coup, il semblerait donc qu’une gravitation attractive temporelle serait la force de l’antimatière, finissant notamment au cœur des galaxies dans les trous noirs gigantesques, dans un temps d'environ 15 milliards d’années lumière. Les trous noirs sont formés lors de l'effondrement sur elle-même d'étoiles géantes ( les plus chaudes sont de l'ordre de 27500 kelvins ) lorsqu'il n'y a plus de matière noire ni d'hydrogène.  Ainsi dans ces zones « hyper massive » absorbant toutes matières : les antiparticules provoquent sur les particules : une réaction Gamma, donnant de l’énergie aux quasars ( ensemble de grosses étoiles ), plus particulièrement hyper fortement au cœur du halo galactique : le bulbe ; avant que n’explosent les supernovae mourantes ( étoiles massives ), dont les restes sont des pulsars ( étoiles à neutrons ), voire des jets de plasma flirtant avec la vitesse de la lumière s’échappant des blazars autour des trous noirs( en quelque sorte : des trous de ver ou des fontaines blanches).

De fait, l'antimatière en tant qu'énergie sombre, par une gravitation répulsive spatiale de 100 milliards d’années lumière, rejoint le vide intersidéral où règne le 0 absolue des -273 degrés Celsius, jusqu’aux limites de l’enceinte spatio-temporelle, où le gaz a disparu dans un nouvel amas de galaxies elliptiques puis lenticulaires au nombre de 25%, avant de redevenir des galaxies de gaz et matières spirales au nombre de 70% ( dextrogyre temporel dominant : développement de l'émetteur). D’ailleurs, un nuage de gaz se rapproche de notre voie lactée où il créera dans 40 millions d’années : des dizaines de milliers d’étoiles massives, qui quelques millions d’années ensuite donneront des supernovae ( les turbulences cosmiques créant des filaments de gaz et de poussières, engendrant les étoiles, où se créent des éléments de plus en plus lourds : l'hydrogène et l'hélium étant formés sans doute dans la matière noire et l'énergie noire, puis les autres assurement dans les quasars, supernovae et dans des chocs entre étoiles à neutrons dit pulsars ).

Et récemment s'es développé l'hypothèse pour un univers pour l'instant trop jeune ; que après une première mort où les géantes rouges explosent en naines blanches, viennent des naines noires entrainant une lente fusion nucléaire jusqu'à exploser en supernovae noires.

Par ailleurs selon moi, la polarisation photonique du fond diffus cosmologique dont subsiste une forme de rayonnement d’ondes gravitationnelles, trahit la « réalité » d’une limite à l’univers-cosmos : une onde de choc colossale « chaotique » d’une fin de l’espace-temps.

Donc en somme, je dirais qu’il y a deux univers déterminés par la gravitation et entre les deux : un cosmos aléatoire de 1500 milliards d’années spatio-temporelles, où se développe la complexité de la matière galactique ( soit mathématiquement : moins par moins égale plus ).

 

                                                                                            ***

 

Donc, la masse corpusculaire de la gravitation attractive temporelle d’1/mc2 serait la première dimension, traduisible en énergie numérique ( hertz ) , faite de points  ; et la deuxième dimension serait la célérité ondulatoire de la gravitation répulsive spatiale de mc3, traduisible en octets analogiques ( électronvolt ) faite de droites ; et la résultante pondérée par les constantes cosmologiques serait celle de la troisième dimension du monde analytique élémentaire Géométrique, lié à un système mésoscopique après décohérence photonique. Ainsi selon moi, s'unit le monde de la relativité de l'infiniment grand et le monde quantique de l'infiniment petit.

 

En effet, l’âge d’un « bing-bang : vibe-flux macrocosmique » de 13,7 milliards d’années voire plus, serait celui de l’age solaire multiplié par environ « 3 quarks ( trucs ) » depuis le trou noir par une géométrie fractale exponentielle ; ou bien racine de 2 ( 1,41 ) par nombre d’or ( 1,61 ) par pi (3,14 ) par base des logarithmes ( 2,71) puis par les deux constantes ( 1,2 et 0,5 ) : soit un total de 11,59 pour un cercle cosmique parfait, auquel il faut rajouter les interstices gravitationnels.

Mais surtout, on peut constater que : le multiple entre l’âge stello-terrestre ( 4,5 milliards d’années ) et l’âge bio-terrestre ( 3,8 milliards d’années ), se rapproche de la constante 1,2 amélioré fin 20ème, qui serait celle d’une cosmologie multiplicatrice, liant la chimie légère ( 75 % d’hydrogène et 24 % d’hélium ) et la chimie lourde ( silicium, oxygène, aluminium en constituant 80 % ; et carbone, azote et phosphore étant la base du biologique avec 99, 99 % de carbone + H2O ( molécules chimiques venant des asteroïdes de Ceres ) + soufre ).

Ensuite, la double force gravitationnelle oscillo-cyclique particulo-élémentaire ( 92 éléments dont 3 éteints, élevés par réacteurs nucléaires et accélérateurs de particules jusqu'à la totalité du tableau périodique de 118 éléments : le 117 étant confirmé en 2014 ; où il est devenu impossible de déduire leurs propriétés à partir de leurs positions dans le tableau, et où désormais les modèles spéculatifs placent les limites jusqu'à l'élement 137 voire 173 ) expliquerait par des fréquences agissant sur les étoiles du halo galactique, que la constitution métabolique hélicoïdale de ses molécules organiques soit à acides aminés lévogyre spatial dominant ( création du récepteur : type Civa ou Yin ). Puis dans les turbulences de l'atmosphère : les gouttelettes des nuages auraient fertilisées la terre primitive il y a quatre milliards d'années en donnant l'énergie nécessaire aux molécules prébiotiques ( nucléotides ou protéines ). Ensuite, il y a 2,4 milliards d'années : eut lieu la grande oxydation, du fait des microbes et des minéraux.

 

Sachant que les galaxies sont sur les faces et arrêtes de véritables bulles cosmiques d'environ 100 millions d'années lumière de diamètre ; et qu'on passe du temps de 10 - puissance 32 seconde, où l'énergie du vide engendre des particules, à l'espace en expansion à partir de 5 milliards d'années lumière ; je résume cela par des fonctions dérivées pour le temps, et des fonctions intégrées pour l'espace. Donc sachant que les équations de cinquièmes degrés ou plus, sont irrésolvables par radicaux ; nous avons les données de physique : masse temporelle et vitesse spatial, puis énergie de fusion Gamma et de fission X ; le tout débouchant sur l’electro-magnétisme chimique.

Soit peut être une formule unifiante de : G = M ( e ) sur C( constante ) fois Pi

 

***
D'abord, précisons que la genèse de notre étoile s'est déroulée en même temps que quatre phénomènes cosmiques exceptionnels. Dans l'ordre d'apparition : un super amas d'étoiles, une étoile Wolf-Rayet, une étoile massive et une supernova toute proche. De quoi expliquer la vie par extrapolation ?                                                       

Ensuite, rappelons quelques ordres de grandeurs du « monde de l’émanation Gamma  physico-chimique » ou troisième jour symbolique.

Le champ électromagnétique ( de la chimie et des ondes d’électrons avec échange de photons ) : va des infrasons ( de 0 à 20 Hertz ), à l’audio ( de 20 Hz à 20 kHz ), aux ultrasons ( de 20 à 100 kHz ), aux ondes radioélectriques ( de 100 kHz à 1000 gHz ), aux micro-ondes ( de 1000 à 10 000 gHz ), aux infrarouge, où commence la chaleur ( de 10 000 à 400 000 gHz ), aux ondes lumineuses ( de 400 000 gHz à 7,5 10n14 Hz ), et aux ultraviolets commençant à détruire le biologique ( de 7,5 10n14 à 6 10n15 Hz ).

Ensuite vient l’interaction nucléaire faible, dit radioactivité X, provoquant la fission et participant à l’élaboration des éléments chimiques avec échange de particules neutrinos ; et l’interaction nucléaire forte dite chromodynamique ou radiation Gamma, provoquant la fusion et assurant la cohésion du noyau atomique des protons et neutrons par l’échange de gluons liant les quarks du noyau. La matière représentant 5 % de l’univers, dont les étoiles ont 0,1 protons au mètre cube. Les radiations X alpha et beta vont de : 6 10n15 à 3 10n20 Hz, puis les radiations Gamma vont jusqu’à 10n29 Hz.

L'union de deux forces en électrofaible est prouvée en 1983, et se poursuit en trois forces théoriques au sein de l'intéraction électro-nucléaire. Après on tenta d'intégrer la gravitation médiatrice ou de changer sa formule, tout en règlant la question du boson de Higgs, donnant en 2012 sa masse aux autres particules ; restant par exemple la question du "neutrino stérile " indétectable : qui pourrait solutionner le problème d'hélicité droite incertaine des neutrinos, et donc la masse manquante d'une matière et énergie noire, soit : l'antimatière d'une gravitation répulsive. La fausse particule "X" croyant être détectée fin 2015 obligerait à des spéculations peut être infinies sur les questions de la 5ème force, de la 4ème dimension ( théorie des cordes ) ou de la supersymétrie ( particule de force et de matière ). La masse du boson de Higgs variant selon le processus dans lequel il intervient, et une gravitation massive en écho de spin 2 posant la question de la relativité générale.

Quant au plan chimique : les états solide, liquide et gazeux, voire plasmatique, ont connu des développements par la découverte des états : superfluide, supersolide ou supra-conducteur ( changements du à la modification de la préssion et de la température ). Par ailleurs, les groupes chimiques sont : métalloïdes ; non métaux ( halogènes, gaz rares, et autres ) ; métaux ( alcalins, alcalino-terreux, terres rares : lanthanides et actinides, et métaux de transition et pauvres ).

***    

Notre soleil de chaleur actuel de 5800 Kelvins, serait né de la mort d'une étoile ayant quitté son amas ; ( sachant que selon la panspermie : la majorité des trous noirs, 1/5 des étoiles et 5% des planètes sont éjectés de leurs congénères et vivent en solitaire avant de rejoindre un nouveau groupe ). Ensuite, après l'effondrement du nuage gazeux stellaire, les poussières planétissimaux ( minéraux ) structurèrent les couches rocheuses en fusion comme base du « monde de la création Gaïa bio-chimique « ou quatrième jour symbolique. Puis, la planète refroidit en surface, avec des remontées volcaniques du magma, créant une atmosphère engendrant des orages à la source des océans il y a 4,4 milliards d'années ( 95% de l'eau fut présent dès la formation de la terre dans les roches, avec au moins 3 fois les océans actuels : issus de chondrites à enstatite : astéroïdes météorites pierreuses très rares ) ; et continuait à être bombardées par des astéroïdes, météorites et comètes, lui apportant de la matière organique, à l'origine des soupes pré-biotiques dans les sources hydrothermales ( la vie serait donc née dans de petites mares chaudes à l'ombre d'un volcan, vers il y a 4 à 3,8 milliards d'années, engendrant par cycles humide/sec : les 1ères proto-cellules, puis des micro-organismes : capables de se reproduire ; puis des vésicules membranaires semi-perméables, créèrent la premières cellule. La vie microbienne unicellulaire commençant donc il y a 3,5 milliards d’années avec les archéobactéries ou procaryotes ( Neptune passant alors de la 7ème à la 8ème position ). Ensuite, le passage de l’ARN ( auto-réplicant d'1 filament à monomères stockant l'information ) à l’ADN ( 2 filaments à enzymes, transcrit en ARN puis protéines ) se développa grâce aux virus d’une dizaine de gènes. Puis, habitués à la vie oxygénée grâce aux cyanobactéries éliminant l'atmosphère de méthane ( atmosphère née de l'impact d'un astéroïde de la taille de Mars il y a 4,472 milliards d'années, et qui donnera naissance à la Lune ), avec peut être en plus accalmie volcanique ( d'où : terre " boule de neige " entre  -2,4 et -2,2 milliards d'années ) ; vinrent les organismes pluricellulaires : végétaux : ( photosynthèse à chlorophylle ), apparut il y a 2,2 milliards d'années, dont la mort créa la terre et l'humus ; puis animaux : respiration à hémoglobine ) il y a 2 milliards d’années, après que des cellules à noyaux naquirent de la symbiose de deux bactéries ( unicellulaire sans noyau ) il y a 2,5 milliards d'années, marquant le début des eucaryotes et de l'horloge biologique ( la sexualité apparaissant il y a 1,5 milliards d'années avec la méiose et les gamètes ). Les micro-organismes fossiles furent assez nombreux pour modifier la composition de l'atmosphère il y a 850 millions d'années et créer un tapis de mousse ( l'éponge il y a 550 millions d'années est la grande soeur des espèces animales ).

Enfin, le règne animal vertébré commença il y a environ 500 millions d’années ( avec des sortes de vers anguiliformes du groupe des chordés ) après la fin de la dernière glaciation totale du globe il y a près de 545 millions d'années. Entre temps, la terre avait connut six phases de super continent entraînant chaque fois une augmentation de l’oxygénation de l’air, dut à l’érosion tectonique se déversant dans l’océan et engendrant des algues. Et cette dernière période connut également une augmentation de la couche d'ozone et du champ magnétique : nécessaire au développement de la vie ( avec le début du système immunitaire il y a 500 millions d'années, et parallèlement l'émergence hors de l'océan des plantes il y a 510 millions d'années ( algues avec champignons ) : les premiers animaux amphibiens apparaissant il y a 370 millions d'années ; et ensuite les chromosomes X et Y se dissemblèrent enormément il y a 300 millions d'années).

Par la suite, vinrent les cinq gros passages météoriques dans les bras spiraux de l’intérieur vers l’extérieur galactique, qui selon moi ont suivit les forces électromagnétiques tropico-équatoriale ( vers le pôle Nord, approximativement par des équations de degré quatre maximum ).

Le système solaire est alors passé : du premier bras spiral galactique au deuxième entre - 440 et - 360 millions d’années, puis du deuxième au troisième de – 250 à - 200 millions d’années. Ainsi, tout d’abord deux météorites tombant dans l’océan unique Panthalassa ( l’actuel Pacifique ), l’une sur le tropique du capricorne puis l’autre sur l’équateur, vers les deux grandes dorsales volcaniques sous-marines ; tuèrent du coup 90 % des anciennes espèces océaniques, au profit des insectes et des premiers amphibiens. Puis deux autres météorites : l’une au centre de la terre unique Pangée sur le tropique du capricorne, au début de la création de l’océan primordial Thetys ( l’actuel Indien )  avec la péninsule du Décan, et l’autre tombant en Asie centrale vers l’Altaï ; matèrent 60 % des espèces anciennes amphibiennes, au profit du règne des grandes espèces terrestres sauriennes. Ensuite, la Pangée se scinda en deux sous-continents il y a 120 millions d’années : la Laurasie et le Gondwana. Ainsi, commença le niveau Gondwana ou cinquième jour symbolique des proto-mammifères.

Et, lors de la sortie vers le quatrième bras spirale ( à 30 000 années lumière environ du centre de la galaxie), il y a 65 millions d’années : une autre énorme météorite tombant cette fois au-delà de l’Atlantique naissant, en Amérique centrale vers le Yucatán, sur le tropique du cancer : provoqua 40 % de disparition animal terrestre dont principalement les dinosaures, profitant aux nouveaux oiseaux ( développement du mésencéphale ), et surtout aux règnes des petites espèces terrestres mammifères.

Enfin, né en Afrique, le « fulgurant-spatial » humain, en arrive désormais à créer une sixième grande extinction par la pollution industrielle, éliminant bientôt 30 % des espèces ; ( ce peut même être la septième si on considère que la première il y a 542 millions d'années fut celle de 98% de "la faune d'Ediacara " sur les fonds marins du fait de vers destabilisant le sol et minant l'écosystème des premiers multicellulaires ). 

Quant au sixième passage météoritique, il serait fatal à la terre, car il coïnciderait avec la sortie hors de notre galaxie ; notre voie lactée ayant déjà absorbé des galaxies naines, avant que la constellation d’Andromède ne se rapproche dans 2 milliards d’années, alors que le soleil stoppant toute vie dans 1 milliard d’années, mourra dans 7 milliards d’années.

 

 

 

 

 

 

 

 

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