2 : Astro*humanité de God puis l’histoire.
Où allons-nous?
Notre terre est dans la zone habitable de sa galaxie et du système solaire ( à 8 minutes lumière du soleil de taille moyenne et 26000 année lumière du centre de la galaxie ), avec un système de masse et viscosité intermédiaire à orbites circulaires ; un jupiter anti-météoritique, une lune stabilisant l'axe de rotation, une tectonique régulant l'effet de serre, un champ magnétique isolant des radiations. Ces conditions arriveraient dans 1/200 système selon les dernières théories ( 1/20 étant habitables avec des planètes comme Mars il y a 3,5 milliards d'années ). Et une terre trop idéale empêcherait peut être que quelques problématiques accélèrent l'évolution vers l'humanité.
Dès lors, l’évolution biorythmique de notre planète put s’accomplir dans le zodiaque sidéral constellatoire, par un cycle sur son axe en 22 000 ans, sur son orbite en 100 000 ans et sur son angle en 41 000 ans. Et les phénomènes environnementaux s’ajoutant nous ont alors mené vers une synthèse de 18 mutations génétiques fixées en 25 voire 30 millions d’années depuis les anthropoïdes-hominoïdes.
Et ensuite, la séparation de l'australopithèque-hominine avec l'ancêtre du chimpanzé se situa entre il y a 6,3 et 5,4 millions d’années avec ensuite 1,2 millions d’années d’interfécondité ; le mâle alpha ( le dominant ) apparaissant avant : vers il y a 8 millions d'années ( ardipithèque-hominine ) ; et ensuite alors que les bonobos il y a 2 millions d'années développèrent un pan-sexualisme continuelle ; l'homme primitif avec sa néoténie ( naissance immature ) et son début de langage articulé : entama peut être selon moi : le règne de la morale du chef de horde sur une tribu à sexualité continuelle aussi. Et auparavant, le début de bipédie plus intense apparaît être lié à la chasse de poissons dans les lacs.
Les primates, dauphins et orques, éléphants, ou pie et corbeau notamment ont une proto-conscience. Mais, le début de la conscience et du proto-langage, commença chez l'adulte de niveau 3 ans de type : homo habilis-ergaster et erectus ( disparut il y a 110 000 ans ), apparut il y a entre 2,3 et 1,9 millions d’années (pléistocène), après les ères interglaciaires et un développement carnivore il y a 2 500 000 ans ( la mutation faisant grossir notre cerveau, apparaît liée à une cytosine remplacée par une guanine sur un gène purement humain, porté par le chromosome 15 : augmentant le nombre de neurones du néo-cortex ) .
Dès lors l’existence développa exponentiellement le chemin microcosmique du culturel récepteur "des ailes émanentes : vers le haut » ; complétant celui macrocosmique du naturel émetteur « des racines immanentes : vers le bas » ( voir ensuite dans le chapitre 3 : la neuro-psy Gravitation, qui en est la résultante ). Car, c'est en l'humain que l'univers prend conscience de lui-même. La plasticité cérébrale humaine était alors prête à se développer par projection identificatoire donnant sens aux choses. Ainsi commença le " monde de la formation God psycho-cognitif " ou sixième jour symbolique.
L’humanité sauvage maîtrisa tout d’abord principalement l’outil rudimentaire : la pierre taillée ( débutant il y a 3,5 millions d'années avec des australopithèques proto-habilis ), puis il y a 800 000 ans avec le feu ( homo antecessor ), elle se donna une meilleure alimentation carnée et un meilleur abris.
Nos derniers cousins ( le proto-Sapiens Néandertal : apparut il y a environ 400 000 ans ( adulte de niveau mental 7 ans, avec volume cérébral plus grand mais moins bien connecté ) ; le proto-Sapiens Denisova : apparut il y a environ 700 000 ans , puis Maludong asiatique ; et l'homo à nanisme insulaire Florensiensis et Luzonensis de Callao ), furent stoppés dans leurs évolutions : le premier il y a un cycle complet zodiacal : soit donc environ il y a 25 000 ans lors de la dernière glaciation ; le second il y a en gros 10 000 ans avec l'agriculture, et le troisième : il y a 50 000 ans. Par ailleurs, Néandertal connut une interfécondité avec tous les sapiens euroasiatiques ( il y a 40 000-55 000 ans ), et Denisova juste avec ceux d'Asie du sud est et les océaniens ; les subsahariens connaissant eux des hybridations avec des sapiens archaïques ( de plus, on a découvert récemment que les proto-sapiens seraient arrivés jusqu'en Amérique il y a 130 000 ans et disparut il y a 30 000 ans ). Enfin, le Y de l'Adam chromosomique est vieux de 300 000 ans, et le X de l'Eve mitochondriale est vieux de 200 000 ans ; ceci parallèlement à un début des sépultures il y a 400 000 ans et de l'art il y a 250 000 ans ( le Kalahari fut la région des premières tribus, aujourd'hui : les Bochimans ou les San depuis 44 000 ans ).
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Après les 6 niveaux qui peuvent être dit aussi : particulaires, élémentaires, moléculaires, minéral, végétal et animal, précédant l'humain ; abordons donc maintenant les quatre étapes spatio-temporelles du mondialisme planétaire, débutant avec les premières sépultures et l’art funéraire, où commence le septième jour symbolique du " monde de l'action psycho-sociale " : du repos divin du père naturel et celle de l’histoire du fils culturel. De fait, la sélection naturelle pure, a régréssé exponentiellement face à une évolution épi-génétique socio-environnementale.
Premièrement fut : l’espace mondial nomadique horizontale d’homo sapiens : apparut progressivement il y a 150 000 ans, et dont la sortie hors d'Afrique fut stoppée momentanèment il y a 75 000 ans par l'éruption du volcan Toba. Ensuite, il se différencia en différentes ethnies selon le climat et la nourriture. Les yeux bleus étant apparus par exemple il y a seulement 6000 à 10 000 ans par manque de mélanine. De plus, ces temps sont liés à des légendes antédiluviennes : sur l'existence du peuple de Mû sur un continent dans le pacifique ( autour de la nouvelle zélande ), et du peuple Atlante ayant donné son nom à l'océan au delà des portes d'Hercule ( zone du dogerland ). Parallèlement, existe deux types de mythes ( les Gondwaniens au sud et les Laurasiens au nord ). Et le mythe principal de base semble être celui de la caverne originelle, où une femme sort en premier.
D’autre part, ces ethnies possédaient un art rituel paléolithique et étaient soudés par des religions animistes dans une vie tribale de chasseur.e.s et de cueilleuses. La violence ne se traduisait alors que par le cannibalisme et les affrontements inter-claniques. Les esprits de la nature, les âmes ancestrales et le dieu suprême inacessible, étaient maîtrisés par le sorcier chaman à coup d’envoûtement et de transe, et associés à une déesse mère callipyge : d’où un « matriarcat naturel ». Sous ce mode de religion orale commença même une proto-sédentarisation ( avec une proto-agriculture africaine mais aussi des chasseur.e.s-cueilleuses négroïdes : pratiquant des stocks de nourritures et du troc de parures en Russie il y a 28000 ans, et une domestication du chien il y a 33 000 ans en sibérie, ou une proto-écriture ( à 29 signes géométriques ), avec une base soli-lunaire en 20 fois 13, s’étant développée depuis l’Afrique jusqu’à l’Amérique précolombienne ( des asiatiques traversant le détroit de Béring à sec il y a 40 000 ans et se multipliant ensuite il y a 16 000 ans ) ; des extrêmes orientaux se rendant aussi en occident il y a peut être environ 20 000 ans.
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Puis avec la dernière fonte des glaces, commença le développement d’un temps mondial sedentarique verticale ( holocène ), engendrant la civilisation des populations par l’agriculture il y a 10 000 ans ( poterie il y a 20 000 ans en Asie ), ainsi que l’élevage et la domestication des animaux de compagnie ( chat il y a 9500 ans depuis le moyen orient, et cheval il y a 6500 ans depuis l'Asie centrale : avec humains aux langages indo-européens il y a 5000 ans ). Ainsi, la promiscuité avec les animaux combinée au manque d’hygiène entraîna les premières épidémies. D’autre part, la subsistance culturelle engendra une explosion démographique, alors que le développement des richesses et les outils métalliques (il y a 5000 ans ) occasionnèrent le développement des guerres ( la violence animale y compris humaine est liée à une forte térritorialisation puis socialisation par le biais des mâles âgés sur les jeunes mâles ; et elle ne déclina qu'avec le développement de l'individualisme humain ).
De fait, c’est au cours de ce néolithique mégalithique ( 1er temple en Anatolie il y a 12000 ans ), que naquit la noblesse enclenchant le patriarcat culturaliste polythéiste ( dieux moitié humain, moitié animal s’orientant progressivement vers l’anthropomorphie complète : avec triade dominante d'une divinité suprême, d'une de la guerre et d'une de la fécondité). D'autre part, c'est entre -15000 et -5000, que l'humanité développa des langages spécifiques ( la linguistique écologique précise que les climats chauds et humides avec pression atmosphérique forte : développent des langues tonales, plus centrées sur les voyelles ; alors que les climats secs et froids avec pression atmosphérique faible : développent des langues éjectives, plus centrées sur les consonnes ).
Puis avec le développement du commerce, vint une culture Historico-scripturaire il y a 5000 ans environ au Moyen-Orient s'étendant plus tard en Europe avec un calcul soli-lunaire en base 12 fois 5 se développant parallèlement en Asie et plus tard en Amérique précolombienne.
Dans cette civilisation où le culturel ( tissage il y a 9000 ans, roue il y a 5500 ans, verrerie et bateau à voile il y a 4500 ans, ou encore cadran solaire il y a 3500 ans ) prenait le pas sur le naturel ( ainsi c'est en Egypte qu'on trouve les premiers actes de mariage à l'instar des dieux rompant avec la polygamie ) ; l’attente d’un retour du déluge en fait dégel, ajouta à l'Astronomie religieuse ( des cavernes aux mégalithes ) : une Astrologie prophétique de la Mésopotamie au Sphinx Egyptien ( phénix renaissant de ses cendres à l'instar des crétois phéniciens ; Lion ailé d'Antinéa : reine des temps jadis de l'Atlantide : donc du "pas nouveau", orienté vers le Verseau : du retour du déluge souhaité ), lié ensuite à l’ère des sacrifices du Taureau ( Santorin issu du minotaure d'Astérios ) puis du Bélier hébreux. Les sept astres mouvants mésopotamiens étant Shamash ( Soleil ), Sin ( Lune ), Nebu ( Mercure ), Ishtar ( Vénus ), Nergal ( Mars ), Mardouk ( Jupiter ) et Ninourta (Saturne ).
Puis plus tard, c'est en Grèce que se développa l'Astrologie individuelle et thérapeutique.
Ainsi, au - 6ème siècle, se développa les échanges Orient-Asie et Orient-Occident ( l'Asie rencontrant l'Europe au -2ème, avec sa démocratie athénienne et sa république romaine. Mais cela occasionna aussi rougeole, variole et peste bubonique.
D’autre part, l’évolution acquise fit un bond en avant considérable par la lecture silencieuse, développant notre petite voix intérieure par ubi-synchronicité des phonèmes et graphèmes.
Ainsi, se développa la sagesse asiatique des tseus faite d’équilibre tai-chi-chuan, et celle des gurus orientaux faite d’harmonie yogiste karma-dharma-mantra jusqu’à l’état des éveillés bouddhas ( moines ). Par ailleurs, vers Babylone l’astrologie se consolida au moment de la réelle ère du Poisson. Tout ceci se déroulant donc en l’époque de rédaction des religions orientales et asiatiques historico-légendaires de traditions orales, parallèle au début de la science démonstrative ( les arts ) philosophique ( le précurseur-inventeur : Pythagore est "le causeur avec une sorcière " ) y compris mathématique ( arithmétique et géométrie ) en Grèce. ( un proto-alphabet égyptien vit le jour vers -1800, parallèle à des proto-mathématiques à Babylone ; puis une proto-médecine en -1600 en Egypte, de même que le zéro fut inventé à Babylone en -700, avant qu'en 200 en Inde : le signe soit créé.
Par ailleurs, les dualités soli-lunaire millénaires du Yang et du Yin chinois (bons esprits et spectres), et de Vishnu et Civa hindous ( conservateur et destructeur ), s’incluaient dans les liens Abraham-Brahma ( le père des hommes ou le créateur ) et le Tao-Theo ( la voie ou dieu, venant lui même de l’hindous Deva signifiant lumière ).
De là, se forgea le monothéisme des Habirus, fuyant la Mésopotamie au moment de la fin de la civilisation de l'Indus vers l’an -1800, sous le règne d'Hammourabi ( le légendaire Abraham : celui qui traverse ) et ses premières lois écrites. Puis, à la conquête de l'Egypte en tant que "peuple du nord ", ils deviennent les pharaons Hyksos avant d'être chassés par Ahmosis ( le légendaire Moïse : l'envoyé ) vers l’an –1500 vers le pays du levant de Canaan. Là, mélangés " au peuple de la mer " : Philistins et Phéniciens : rescapés de la civilisation crétoise ( " le phénix renaissant de ses cendres" ), ils perpétuent le premier monothéisme d’Akhenaton. Ensuite ils participèrent après leurs voisins Phéniciens à l'élaboration d'une culture de lettres alphabétiques entre –1300 et –800.
Puis une de leurs tribus : les Judéens après avoir conquit Israël par la Samarie et la Galilée, construisit à partir de –700 des temples du monothéisme culturel, dont les trois piliers mêlés sont l’amour, la loi et l'harmonie. Ils furent sans doute aussi inspirés par le manichéisme zarathoustrien.
Leur alphabet lunaire de 22 lettres et 5 finals, mêlé par étapes en une alchimie métaphysique donnant : Yahveh et Josué-Isaïe-Yechoua de Ichtos ( les élus du poisson ) mena les rabbis à rechercher l’étude biblique d’une paix régnante, avec le tétragramme imprononçable et irreprésentable des 4 niveaux du monde : YHVH ( je suis qui je suis : l’émanation sémite, la création hébraïque, la formation judaïque et l’action israélienne ). Celui-ci devenant dans le christianisme : l’âme du père ( yod ), relié au cœur du fils ( vav ), par le saint esprit ( hé, le deuxième hé étant appelé parfois l’âme sœur ou déesse mère ).
Ainsi, l’Astrologie qui avait permis de diviniser et d’idolâtrer des empereurs et des rois, amena le messianisme transcendantal et sacrificiel de Saturne-Aïon-Mithra-Dionysos ou Emmanuel : rois du ciel et de la terre fêtés le 25 décembre, ouvrant la route de l’ouest « de la Galilée au pays de Galles ». Par ailleurs, cet occultisme à travers les fêtes, continua à faire croire prophétiquement dans les saintes destinées à travers les solstices et les équinoxes saisonniers ; développant des cultes hermétiques selon l’histoire-géographie des pays, comme par exemple celui du sacre du printemps des doux, du règne de l’été des vainqueurs, du passage de l’automne des voyageurs, ou encore de la salvation de l’hiver des bienheureux.
De nombreux récits s'inspirent les uns des autres comme ici celui de Krishna ( l'amour incarné ).
D’autre part, avec dès le - 2 ème siècle : la confirmation de la précession des équinoxes ( mouvement spatial inverse au temps calendaire, calculant plus tard qu’un degré constellatoire zodiacal passe tous les 72 ans ; donnant en cela la route du nord ouest : le Nord magnétique ne correspondant pas au Nord géographique ). Cela fut aidé par les chiffres hindous avec le zéro au 6ème siècle, passant du bouddhisme devenu asiatique, aux arabo-musulmans vénérant Allah ( créateur de tout et juge suprême ), avec leur perfectionnement notamment algébrique.
Ensuite, au 11ème du temps du développement européen septentrionale : les cathares bogomiles puis surtout les templiers s’entichèrent des traditions moyennes orientales hermétiques. Pendant ce temps, les juifs devenu talmudistes, qu’ils soient du Sud ( séfarades ) ou du Nord ( ashkénazes ) se partageaient entre les pieux (hassidim) et les commerçants traducteurs d’occident en extrême orient ( les rhadanites ). L'union avec la science des errants devenus diaspora israélite, se fit par la kabbale ( pratique de chiffres et de lettres cryptés, avec ses dix essences ( sephirots), et ses quatre niveaux : émanation divine, création mentale, formation sentimentale et action spirituelle ; d’un dieu partout et en tout ( tsimtsum, bris des vases et tikkun ). Ainsi, le premier nombre parfait est le 6 du sceau de Salomon ou étoile de David conceptualisée au 11ème siècle, en l’honneur des 6 jours de la création ( le 7ème jour du repos étant shabbat : le samedi ou jour de Saturne : le temps, ou six branches du chandelier ( la 7ème étant aussi la 1ère : celle du soleil ). L’étoile à 6 branches a également douze intersections comme les mois de l’année. Ensuite le deuxième nombre parfait est le 28 quasi-alphabétique, lié au cycle lunaire et au nombre de phalanges des mains ; le 29ème jour débouchant sur la Géométrie de 22/7 = Pi = 3,14... ( Pi ayant été inventé par les grecs, mais calculé déjà par les Mésopotmiens puis Egyptiens ).
Par ailleurs, le développement des relations arabo-chinoise et arabo-européenne dès le 7ème ( chèque au 8ème et billet de banque au 11ème en Chine ) , puis de l'Orient avec l'Afrique, et enfin de l'Europe avec le reste du monde dès le 15ème ; créa un commerce ( pomme de terre et maïs importés d'Amérique amoindrissant les famines européennes ) et un savoir mondial avec une administration livresque ( asiatique puis européenne ), développant la patronymie ; tout autant que de nouvelles épidémies transmises par voies animales tuant ½ des occidentaux et ¼ des orientaux ( peste-choléra ), 4/5 des amérindiens ( variole ) et 2/3 des asiatiques ( grippe animale notamment ). Par ailleurs, l’esprit missionnaire chrétien mata le culte du dragon jusque dans le nouveau monde américain, où ces Atlantes, étaient attendus dans ce continent de Mû ( la rotondité de la terre découverte par les grecs de l'antiquité, devenant évidente pour le plus grand nombre ).
Là aussi, le dieu des chrétiens protestants né en Europe au 15ème, put commencer à récompenser par la libre interprétation : la réussite matérielle sous toutes ses formes ( à commencer par l'opposition au célibat obligatoire de 1123 ). Et d'autre part, les cartes occidentales avec le pôle nord en haut s'imposèrent aux cartes orientales et asiatiques avec le pôle sud en haut ( sans doute lié à leurs écritures de droite à gauche ).
Durant ce qu'on nomme " la renaissance puis le classicisme " et son art baroque au 16ème ( auquel succéda l'art romantique au 19ème ) ; le développement du commerce améliora les mathématiques, et la nouvelle astronomie transforma la philosophie. L'époque était également inspiré par la spiritualité hermétique, avec son astrologie et surtout son alchimie (triade du souffre et du mercure auquel s'ajouta le sel ). La formule hermétique ( syncrétisme gréco-egyptien du -3ème ) " ce qui est en haut, se trouve aussi en bas " marque une union verticale naturelle ; se complétant par celle des Rose-Croix horizontale culturelle : de l'inviduel au collectif avec " nous vous connaissons, et vous viendrez à nous quand vous le désirerez " : le tout pour la création d'une nouvelle citoyenneté.
Finalement, mi 17ème ( grand siècle ), 2166 ans après le mi - 6ème ( centre de la période axiale ) : soit après une ère astro-prophétique écoulée, commença donc la réelle ère du Verseau, et donc le début de l’apocalypse, c’est à dire : la révélation. Ainsi, les différents cycles conjonctionelles et messianiques ayant eut pour but de préparer l’humanité au retour au déluge-dégel ; lui firent en fait prendre conscience de l’ensemble du monde, avant que de pouvoir se préparer au règne de la science planétaire empêchant exponentiellement le retour du climat glaciaire. De plus, quasiment tous les nouveaux astronomes de l’héliocentrisme ( inventé en Grèce au -4ème ) était nés en hiver, voire même le convictionnite 25 décembre pour le découvreur de la Gravitation quintessencielle ( Isaac Newton ), elle même découverte durant l’année mystique1666.
Ainsi, le renouveau de la science en Europe septentrionale fut parallèle à la spiritualité Rose-Croix : oecuménisme humaniste ésotérique proto-philosophique moyen oriento-occidentale se révêlant en 1614. Ceci fut suivit de près par le développement de la chasse aux sorcières ( commencée au 14ème et jugée folle au 16ème ), liées au culte de la lune noire Lilith ( rivale obscure de l'ordre patriarcale ), auguré par un juif depuis le 7ème siècle des Roses karaïtes. Houd est le bruit des oiseaux et des femmes, à l'origine du nom de la tribu apatride de la "veuve" : Jud ( selon Sabine Raillard ). La rose étant la représentation de l’esprit renaissant et quintessencielle, s’incarnant ensuite dans le nom néo-républicain de Marianne ( mélange de Marie : mère et femme de Jésus et Anne : mère de Jean-baptiste).
Après que l'église condamna l'Astromancie, 1666 fut aussi l’année symbolique, où la science rejeta notamment le géocentrisme astrologique. ( le chiffre 666 marquant les limites du chiffre relatif de pronoms personnels, mais aussi celui des couleurs de l'arc en ciel et des notes de musique, et même du nombre de côtés des formes principales associées : rectangle, triangle et cercle).
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